Christoph Sobotta: Je suis à Breslau le 10 octobre 1940 (aujourd’hui Wrozlaw en Pologne) née. Après l’évasion, je suis avec ma mère et mon frère A atterri dans la forêt bavaroise près de Passau et y a grandi. Cette Je suis allé au lycée à Passau. Là j’ai rencontré une fille appris que je me suis marié en 1968. Nous avons une fille et une Obtenez fils. Après avoir terminé mes études secondaires, j’ai eu le mien pendant un an en 1960/61 Service militaire obligatoire dans les forces armées allemandes avant de commencer mes études en Mathématiques et physique pour la profession enseignante. A partir de 1968, j’étais aussi Enseignante à l’école secondaire de Landshut. Je suis retraité depuis 2005.
Nous aimons voyager. Nous avons notre lune de miel au Sables d’or fabriqués en Bulgarie. C’était un voyage en avion.
Quand les enfants étaient encore petits, nous avions les sommets de la Bavière A fait face à la forêt. Plus tard, nous avons également pris d’assaut les montagnes du Tyrol du Sud en via ferrata.
Avec un ami de la famille, nous avons attendu plusieurs fois avec impatience La navigation de plaisance en France sur les rivières et canaux, par exemple en Auxerre. On y pense encore avec émotion.
Nous avons passé nos vacances au Danemark pendant environ 15 ans, plus récemment chaque année à Blåvand dans le Jutland. Malheureusement, nous ne pouvons pas maintenant voyager plus parce que ma femme a de gros problèmes à marcher, elle ne peut plus faire face aux escaliers du 1er étage.
Christoph Sobotta: Heureusement, je n’ai rien à voir avec le racisme, je viens de lire dans Les journaux à ce sujet et découvrez-le à la télévision. Landshut est également en hausse maintenant aucun point focal pour le racisme. Mais cela ne veut pas dire que c’est il n’y a pas de sentiment raciste
Christoph Sobotta: Mais le racisme est vraiment un problème en Allemagne, ce que le attentats affreux et le renforcement du show de l’AfD. J’espère mais que le point culminant sera bientôt passé. L’augmentation est survenue probablement de la vague de réfugiés en 2015, dont plusieurs agitateurs ont profité
Christoph Sobotta: A mon avis, les bons moyens contre le racisme sont l’éducation, les voyages et conversations. Si vous entrez en conversation avec des inconnus lors d’un voyage, vous pouvez vous pouvez briser les préjugés très rapidement.
Christoph Sobotta: J’ai eu une guerre depuis la fin de la guerre froide ne vous inquiétez pas, ce qui m’inquiète, c’est le changement climatique et la La plupart des politiciens sont immobiles. J’ai peur qu’ils soient de la taille du Ne pas voir ou vouloir voir le danger.
Christoph Sobotta: Je n’ai pas de proposition pour le moment.
Christoph Sobotta: Ich bin am 10. Oktober 1940 in Breslau (heute Wrozlaw in Polen) geboren. Mit meiner Mutter und meinem Bruder bin ich nach der Flucht im Bayerischen Wald nahe Passau gelandet und dort aufgewachsen. Das Gymnasium habe ich in Passau besucht. Dort habe ich ein Mädchen kennen gelernt, das ich 1968 geheiratet habe. Wir haben eine Tochter und einen Sohn bekommen. Nach dem Abitur habe ich 1960/61 ein Jahr lang meine Wehrpflicht bei der Bundeswehr geleistet, bevor ich mein Studium in Mathematik und Physik für das Lehramt begonnen habe. Ab 1968 war ich als Lehrer an der Realschule in Landshut tätig. Seit 2005 bin ich im Ruhestand.
Wir sind sehr gern verreist. Unsere Hochzeitsreise haben wir an den Goldstrand in Bulgarien gemacht. Es war eine Flugreise.
Als die Kinder noch klein waren, haben wir die Gipfel des Bayerischen Waldes bewältigt. Später haben wir die Berge in Südtirol gestürmt, auch auf Klettersteigen.
Zusammen mit einer befreundeten Familie freuten wir uns mehrmals auf Bootfahrten in Frankreich auf Flüssen und Kanälen, beispielsweise in Auxerre. Wir denken immer noch gern daran zurück.
Circa 15 Jahre lang haben wir unseren Urlaub in Dänemark verbracht, zuletzt jedes Jahr in Blåvand auf Jütland. Leider können wir nun nicht mehr verreisen, da meine Frau mit dem Laufen große Probleme hat, sie kann die Treppe von der 1. Etage nicht mehr bewältigen.
Christoph Sobotta: Mit Rassismus hatte ich zum Glück noch nichts zu tun, ich lese nur in Zeitungen davon und erfahre davon im Fernsehen. Auch ist Landshut bis jetzt kein Brennpunkt für Rassismus. Das soll aber nicht heißen, dass es nicht rassistische Gesinnung gibt.
Christoph Sobotta: Rassismus ist aber in Deutschland sehr wohl ein Problem, was die abscheulichen Anschläge und das Erstarken der AfD zeigen. Ich hoffe aber, dass der Höhepunkt bald überschritten ist. Die Zunahme ergab sich wohl aus der Flüchtlingswelle 2015, die etliche Hetzer ausgenützt haben.
Christoph Sobotta: Meiner Ansicht nach sind gute Mittel gegen Rassismus sind Bildung, Reisen und Gespräche. Wenn man auf Reisen mit Fremden ins Gespräch kommt, kann man sehr schnell Vorurteile abbauen.
Christoph Sobotta: Seit dem Ende des Kalten Krieges habe ich hinsichtlich eines Krieges keine Angst, Was mir Sorgen bereitet, ist der Klimawandel und die Unbeweglichkeit der meisten Politiker. Ich fürchte, dass sie Größe der Gefahr nicht sehen oder sehen wollen.
Christoph Sobotta: Hierzu habe ich gegenwärtig keinen Vorschlag.
info@europaserfolg.de
© All Rights Reserved 2023